|
|
|
|
Blessé par balles au cours du week-end alors qu’il s’apprêtait à accéder à une soirée organisée par Justin Bieber, Kodak Black, aidé par un déambulateur, est sorti de l’hôpital ce 14 février.
Si l’actualité a été particulièrement chargée aux Etats-Unis ce week-end, notamment en raison du Super Bowl et de son très attendu concert de la mi-temps réunissant Dr. Dre, Eminem, Kendrick Lamar, Snoop Dogg et Mary J. Blige (ainsi que 50 Cent, invité surprise), l’une des informations principale concernait un certain Kodak Black. Ce dernier a en effet été blessé par balles dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 février, alors qu’il s’apprêtait à accéder à une soirée organisée par Justin Bieber dans un club très sélect de Los Angeles nommé The Nice Guy. Accompagné par plusieurs amis à lui, le rappeur originaire de Floride s’est en effet retrouvé impliqué dans une rixe qui, comme l’ont montré des vidéos rapidement publiées sur les réseaux sociaux, a très rapidement dégénéré en fusillade. Au total, 4 personnes ont été blessés, parmi lesquelles le rappeur, qui a rapidement rapidement quitté les lieux avant d’être pris en charge par les secours.
Kodak and crew got into a brawl at Justin Bieber’s party, 4 people shot. pic.twitter.com/bDWV36VXlF
— DatPiff (@DatPiff) February 12, 2022
Kodak est déjà sorti de l’hôpital
Touché à la jambe et visiblement loin d’être remis, Kodak Black a néanmoins fait le choix de quitter l’hôpital dans lequel il se trouvait, moins de 3 jours après les faits. TMZ, qui avait été le 1er média à rapporter l’information de la fusillade, a confirmé ce lundi qu’il avait quitté l’établissement, photos à l’appui, avec l’aide de ses proches mais aussi d’un déambulateur l’aidant à marcher et à accéder au SUV noir qui l’attendait. S’il risque sans doute de souffrir et d’avoir quelques soins à réaliser dans les semaines à venir, on peut donc se dire que le plus dur est définitivement passé. Une fois de plus, Bill Kapri n’est pas passé loin du drame, et on espère que cet incident le poussera à évoluer dans le bon sens du terme…
